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Ondes Vertes au salon de l’éco-rénovation et de l’éco-construction à Cappelle-en-Pévèle
Ondes Vertes au salon Natura Bio à Lille
Ondes Vertes au salon de la maison durable à Villeneuve d’Ascq
Ondes Vertes fait partie des 5 premiers lauréats.
Maison sous ligne Haute tension ou à proximité du poste de transformateur
La limite des 100 ou 200 mètres pour toute construction.
Le Grenelle de l’environnement n’a pas pas suivi les demandes qui visaient à interdire toute construction à moins de 200 m des lignes HT-THT, cette mesure n’étant pas jugée pertinente.

Toutefois, le Grenelle a insisté sur la nécessité de mieux informer le public, de développer la recherche et de garantir un expertise indépendante et transparente. A ce titre, un décret de loi Grenelle 2 fixe les modalités de surveillance et de contrôle des ondes émises par les lignes électriques. L’ensemble du réseau électrique devrait être inspecté d’ici fin 2017 : chacun pourra alors prendre connaissance de l’intensité électromagnétiques des lignes électriques françaises.
Toutefois, la question ne semble pas réglée car l’Agence Française de Sécurité Sanitaire et au Travail (Afsset) a récemment mis en cause les lignes à haute tension, contre l’avis des experts mandatés. Ainsi, l’Afsset recommande de « ne plus augmenter le nombre de personnes sensibles exposées autour des lignes de transport d’électricité à très hautes tensions et de limiter l’exposition ». A ce titre, l’Afsset préconise « la création d’une zone d’exclusion de nouvelles constructions d’établissements recevant du public qui accueille des personnes sensibles de minimum 100 m de part et d’autre des lignes de transport d’électricité à très hautes tensions ». Pourtant, les rapporteurs déclarent que « les preuves scientifiques d’un possible effet sanitaire à long terme sont insuffisantes pour justifier une modification des valeurs limites d’exposition actuelles ».
Source : notre-planete.info, http://www.notre-planete.info/ecologie/energie/lignes_haute_tension_sante.php
O-M-S « Organisation Mondiale de la Santé »
L’ OMS classe les champs électromagnétiques cancérogènes possibles.
La chose est donc entendue : il n’est officiellement plus question de dire qu’un téléphone sans fil ou une box connectée en WI-FI sont des objets anodins. Une prise de conscience collective serait-elle à l’œuvre ?
Les organismes officiels jusqu’à présent très en retrait ont émis des avis plus offensifs.
En juin 2011, l’organisation mondiale de la santé, via son centre international de recherches sur le cancer, a classé les champs électromagnétiques radioélectrique (radiofréquences et hyperfréquences confondues) dans la catégorie 2B des agents cancérogènes possibles, tout comme le plomb.
L’ANSES, Agence nationale (française) de sécurité sanitaire des aliments, de l’environnement et du travail, a reconnu en 2013 certains effets biologiques et certaines tumeurs liées aux ondes électromagnétiques.
Aussi conseille-t-elle de réduire les niveaux d’exposition.
Plus offensive, l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe a demandé en 2011 de limiter les niveaux d’exposition des populations aux champs électromagnétiques hyperfréquences à un seuil de 0.6 volts par mètre à l’intérieur des bâtiments.
Notons au passage que, depuis 2001, les compagnies d’assurance ont pris la précaution de cesser d’indemniser tout risque lié aux ondes électromagnétiques, comme elles l’avaient fait dès 1919 pour l’amiante…